6 janvier 2007
Les toros...
... Dieu ! Que l’horloge du temps égrène lentement les instants de tourments. Le soleil de juillet se noircit doucement et ses rayons brûlants ne réchauffent plus ce froid qui m’envahit, m’engourdit, me glace inexorablement. Ce ciel que je n’ai pas connu...